Bonne Fête nationale aux Belges!

Bonjour,

C’est la journée nationale des habitants de la Belgique. Bonnes festivités malgré les événements tristes que vous vivez présentement.

Voici de grands Belges. Bonne lecture!

Cauvin : scénario et Laudec : dessin

Cédric 1 : premières classes

Cette bande dessinée présente les personnages principaux de la série. Cédric, un écolier, vit avec sa mère Marie-Rose, son père Robert Dupont que Cédric nomme affectueusement « papounet » et son grand-père maternel qui a 78 ans. Il va à son école pour la première fois et il chemine avec celui qui deviendra son meilleur ami Christian. Ce dernier lui demande ce que fait son père et Cédric ne répond pas tout de suite… alors Christian avance que son père est agent secret (en fait, il n’a pas de père et cette profession explique bien qu’il soit absent de la maison). Admiratif, Cédric se sent obligé d’inventer une profession prestigieuse à son père en disant qu’il est astronaute. Arrivé à la maison, à voir la mine de son petit-fils, le grand-père sait qu’il vit un combat intérieur. Confident de Cédric, il entend son mensonge et il éclate de rire… Voilà pour la première histoire.

Cédric vit des aventures amusantes et c’est avec un certain sourire que cette BD se lit pour les grands autant que pour les petits qui enrichiront leur vocabulaire. Le grand-père amène une touche attendrissante et un brin de vérité, car il ne mâche pas ses mots. Il peut sortir une assertion blessante et dire « je rigolais », mais le seul à se marrer, c’est lui. Malgré tout, il aide le couple à se resserrer et il permet souvent de dénouer des situations.

Éric-Emmanuel Schmitt

Schmitt, de double nationalité (belge et française), est d’une prodigalité littéraire qui frôle Hugo! Il navigue dans les genres avec brio faisant découvrir à son lectorat un cerveau rempli à ras bord de diversité et d’intelligence amenant ses lecteurs dans des univers aussi variés qu’inspirants.

La Rêveuse d’Ostende

La lecture du recueil de nouvelles La Rêveuse d’Ostende nous transporte dans différents univers où les femmes ont une large part. Quatre nouvelles en font leur personnage central.

La Rêveuse d’Ostende présente une femme énigmatique qui sous des apparences réservées semble cacher une vie trépidante, mais est-ce vraiment le cas? Ou s’agit-il d’une femme habitée par une imagination débordante?

Crime parfait nous entraîne dans la tête d’un assassin qui aura… des surprises!

La guérison montre le pouvoir de l’amour tandis que l’histoire Les mauvaises lectures illustre un homme qui a des a priori qui l’amènent à poser des actes contraires à sa nature.

Quant à elle, La femme au bouquet suscite les questions et frôle le fantastique.

Une lecture agréable, une lecture voyage.

par Lu


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