HAIG, Matt. Un garçon nommé Noël. Paris : Helium, 2016.

Aujourd’hui, je vous présente mon avis sur le livre que j’ai lu avant le temps des Fêtes, Un garçon nommé Noël de Matt Haig.

4^e de couverture

« La véritable histoire (de Noël) d’un garçon au destin extraordinaire… Une histoire qui prouve qu’il faut croire en l’impossible. Par l’auteur de Humains!

Si vous êtes de ceux persuadés que certaines choses ne sont pas possibles, autant refermer ce livre tout de suite.

Il n’est pas pour vous.

Car ce livre est plein de choses impossibles.

Vous êtes toujours là?

Bravo »

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Première lignes : Un garçon nommé Noël

Mon avis…

Tout a commencé au cours de l’automne lorsque Netflix m’a fait parvenir les nouveautés à venir. Dans ces nouveautés se trouvait le film A boy called Christmas à paraître le 26 novembre 2021. Trouvant l’histoire intéressante, j’ai demandé que Netflix me rappelle le film lors de sa sortie.

Vers la mi-décembre, je cherchais un film de Noël et je suis retombé sur A boy called Christmas. Tombant sous le charme du film, je l’écoutai aussitôt. Sans en faire une critique ou un avis officiel, j’ai trouvé le film excellent! L’acteur principal, Henry Lawfull, interprète à merveille ce petit garçon pauvre qui entreprend un long voyage au cours duquel il se découvre le pouvoir de croire en l’impossible. Néanmoins, certains aspects du film restent flous, mais c’est insuffisant pour compromettre l’histoire. Malheureusement, le film est uniquement en anglais pour le moment.

Après le visionnage du film, j’étais sous le charme et habité par l’esprit de Noël. J’ai immédiatement recherché l’œuvre à l’origine de cette splendide adaptation. En quelques clics, j’ai trouvé le livre en version numérique à la bibliothèque de ma ville. Puis, quelques clics plus tard, j’ai commencé ma lecture…

Somme toute, le film est une bonne adaptation. Cependant, rien ne vaut l’original. J’ai trouvé que les explications présentées dans le livre fournissent une précieuse aide à la compréhension. Ces explications donnent avec une facilité déconcertante les quelques éléments qui faisaient défaut au film. Deux exemples me viennent en tête.

Le premier, la magie que reçoit Noël dans le film n’explique pas ses pouvoirs qui se révéleront. Il faut faire avec. Alors que dans le livre il est dit rapidement que c’est la magie reçue qui permettra désormais à Noël d’en faire. Comme si c’était une espèce de conséquence. Ce passage permet également de comprendre le passage dans la cheminée qui suivra peu de temps après…

Le second, dans le film, Noël devient sans explication le Père Noël, alors que dans le livre Noël vieillit … avant de devenir le Père Noël! Le livre explique, encore de manière simple, que les lutins qui s’appellent Père quelque chose, ont été reconnus pour une raison XYZ et qu’ils ont gagné ce titre. Ainsi, le temps passe, Noël prend sa place parmi les lutins et il finit par gagner le titre de Père Noël. La façon dont je l’explique me semble plus compliquée que ce qui est écrit, mais c’est probablement mon esprit de synthèse qui cherche à trop raccourcir l’explication…

Tout au long du récit, j’ai bien aimé que certains personnages soient dessinés et intégrés au livre afin de permettre à l’amoureux de la lecture, que je suis, de s’en faciliter la représentation. Je pense entre autres à Miika la souris, à la « poupée navet » (vous verrez) ou bien aux lutins.

Conclusion

J’ai eu énormément de plaisir à lire Un garçon nommé Noël. Je pense que ce livre peut être lu dès 12 ans. Si l’enfant est plus jeune et qu’il a une bonne imagination, ce roman peut aisément se transformer en heure du conte avant d’aller au lit.

Pour ma part, j’ajoute le film et le livre à mes classiques de Noël.

Je vous conseille d’en faire autant!